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Revision as of 21:17, 5 April 2008

Le contexte

"Chaque mois un fonctionnaire meurt dans la capitale, parce qu'il n'y a pas de penicilline. Chaque jour un enfant dans le pays guéris d'une maladie mortelle grâce à un plante qui pousse dans la fôret." �Benjamin Owuor, cité par Aggrey Nyong'o

"Nous nous sommes dédiés à éradiquer complètement toutes les attitudes et les idées anti-scientifiques." �Cuban doctor

Ces points de vue différents sont fréquents parmi les personnes qui sont impliqués à améliorer le niveau de santé dans les pays pauvres. Il y a le romantique qui croit incontestablement en l'efficacité générale des traditionnels remèdes, et il y a le docteur, qui se bat, qui voit juste de la superstition dans les remèdes indigènes.Les deux perspectives sont en partie valide; les remèdes traditionnels s'échellonent de l'efficace au dansgereux. La principale faille de la médecine traditionnelle a été l'échec des ces praticiens à s'interroger sur la rigueur des remèdes; dû à la coïncidence et au pouvoir de la suggestion, bon et mauvais remèdes ont été ajoutés naïvement au kit médical des guérissures indigènes. Mais il y a eu suffisamment d'études détachées portant sur ce qui est efficace, inoffensif, et dangereux dans l'éventail de médicaments de la médecine moderne. Un défi majeur dans le développement des pratiques médicales appropriées et des remèdes est de s'approcher de traîtements efficaces, peu chers et sûrs aussi bien dans le système de santé traditionnel, et le système de médecine moderne.

Aussi importante est la question de la catégorie de personne et des rôles qu'ils ont pour être soutenus dans une stratégie tournée vers le développement de systèmes de soins médicaux.Beaucoup a été écrit concernant le fait que les équipements modernes ne peuvent pas être étendus pour atteindre la population entière de la majorité des pays du "Sud". Parmi les raisons les plus souvent citées, il y a les dépenses importantes pour les équipements élaborés, l'insuffisance chronique des professionnels pour travailler dans les zones rurales, ainsi que le coût important des programmes de formation de docteurs. A cause de ces problèmes, les programmes médicaux engagent de plus en plus du personnel médical moins qualifié originaire de la communauté dans laquelle ils travaillent. Ces personnes ont un rôle beaucoup plus éprouvant que les docteurs, exigeant une longue liste de compétences et de connaissances pour offrir avec succès des soins basiques et curatifs, menant des programmes préventifs d'éducation sanitaire, et prennent part à l'organisation de la communauté. Un avantage unique est siginificatif est qu'en tant que membre de leur communauté, ils les connaissent intimement. Schemes involving community level health workers are now operating all over the world.

Le besoin de plus d'"auxiliaires médicales" est donc vivement ressenti aux Etats Unis, un pays où "importent" plus milliers de diplômés originaires des pays pauvres qui peuvent moins se le permettre.Ce n'est pas moins qu'un déshonneur national. Nous avons besoin aussi d'un plus grand nombre de personnel médical moins qualifié pour devenir autonome en soins médicaux. Ce genre de personne sont tout à fait capables de traîter beaucoup les problèmes communs de santé. Les docteurs sont probablement surmenés dans le monde entier, si dans les salles de ou les zones rurales d'Amérique centrale. Even selfless service in a needy area, however, does not begin to meet the longer-term health care needs of the people unless it involves training members of the community so that they can begin to tackle their own health care problems. In developing countries the vast majority of problems are relatively simple ones, often avoidable through the application of basic principles of preventative medicine, and usually compounded by a poor level of nutrition and a lack of access to prompt treatment.

A villager whose main qualifications are the ability to read and write (3 to 6 years of primary education) and a sense of responsibility and compassion for his or her fellow human beings can be trained in two months to diagnose, treat, and prevent 95% of the health problems commonly found in developing countries. Often these local health workers have proven themselves to be more effective in diagnosing and treating common local problems than a small overburdened professional staff. They live among the people they treat and charge what people can afford. Because they have grown up in the community, they know the socioeconomic and family history of their patients, and they are sensitive to local concepts of health, disease, and treatment. For these reasons they frequently have insights into the causes of local health problems and their advice is more likely to be understood and followed.

Unfortunately, those who endorse the use of village health workers frequently pay only lip service to the depth and breadth of indigenous knowledge and skills. In health care, as in other related aspects of community development, outside agencies have often been quick to assert the absolute superiority of their (usually Western-based) methods. And people who have been long oppressed and belittled are sometimes also quick to accept what outside agencies offer, abandoning their own traditions. Making matters worse, the chief medical personnel in programs working with village health workers often have little faith in these people and allow them few responsibilities; too often the result has been the creation of little more than referral systems that continue to swamp understaffed clinics in towns and cities.

Many thanks to David Bartecchi of Village Earth for this content.

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